Parc national du banco
Érigé en parc national par décret du 31 octobre 1953, le Parc national du Banco se trouve au cœur de la capitale économique ivoirienne, entre les communes d’Adjamé, Attécoubé, Abobo et Yopougon.
Ce parc couvre 3 438 hectares. Il joue un rôle crucial en tant que réservoir hydraulique et poumon vert d’Abidjan. Il constitue également un lieu important pour l’éducation environnementale et s’avère favorable pour le tourisme dans la ville.
Le principal objectif est de protéger la nappe phréatique qui alimente la ville en eau potable. Parmi ses principaux atouts, on trouve : 600 hectares de forêts primaires ; un arboretum avec plus de 800 espèces de plantes originaires des régions tropicales d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine ; des étangs piscicoles situés au cœur du parc ; une piscine semi-naturelle et un restaurant ; et la maison du Gouverneur Reste, qui sert d’écomusée. Le parc abrite aussi une famille de chimpanzés.
Une grande biodiveristé
Voici le texte modifié avec une voix active et des phrases plus courtes :
Avec ses 626 espèces végétales, dont 26 rares en Afrique de l’Ouest, et sa faune variée comprenant des mammifères (rongeurs, antilopes royales, singes, chimpanzés), des reptiles, des oiseaux et des ressources halieutiques, le Parc national du Banco joue un rôle clé dans la protection du bassin versant de la rivière Banco. Ce bassin appartient au grand bassin sédimentaire du sud-est de la Côte d’Ivoire, qui abrite une nappe aquifère souterraine utilisée pour approvisionner la ville d’Abidjan.
Véritable joyau de la nature, le Parc national du Banco est une fierté pour la Côte d’Ivoire. Il représente une destination à privilégier et offre une manière de contribuer à sa conservation, pour le bien des générations actuelles et futures. De plus, il s’avère favorable pour le tourisme dans la ville d’Abidjan.



